2012. La Commission Européenne définit le vin biologique. Cave Coopérative Le Cellier des Templiers. Correns (83) : tout un village converti au Bio – La quasi totalité des viticulteurs du village de Correns dans – Cliquez sur la page du site à venir – le Var (83) s’est tournée vers l’agriculture biologique. Cave Coopérative du Val. 890, la Venue de Caromb. Début des années 1980 : une dizaine de viticulteurs bio. Château du Galoupet. RN 98 – Saint Nicolas. 2011. 6 organismes de contrôle agréés par le Ministère de l’Agriculture. Route de Saint Maximin. Cave La Vigneronne. Villedieu-Buisson. Cave des Vignerons de Canteperdrix. 2009. 3 024 viticulteurs Bio. Château de Beaucastel. Domaine Perrin. Nous indiquons ici seulement une liste. Les plus nombreux en 2009 : Languedoc-Roussillon, Aquitaine, Midi-Pyrénées. L’Allemagne et l’Autriche sont particulièrement actifs dans le secteur. Cave Coopérative de la corrensoise. Château du Thouar. Chemin Testavin, 2347 route d’Aix. Adaoust Michel. Chemin de Notre Dame. Château d’Estoublon. Route de Mausanne.
Vin Bio Argent
34Le vin c’est également un symbole de culture, de civilisation qui remonte aux sources du monde la Grec antique. Aux abords de l’ère chrétienne, l’espérance messianique du judaïsme s’exprime au travers d’une vigne mythique. 35Le rapport à la religion assoit aussi une forme de justification mémorielle du bien-fondé de cette civilisation du vin. 37Jusqu’à la fin du Moyen-âge, la viticulture ecclésiastique nourrira la puissance et la gloire de l’Église de Rome. Il est également avéré que, de Noé à Dionysos et Bacchus, le vin est à la source mythologique des civilisations. 38La vigne et le vin, leur image, ont donc depuis longtemps suscité une attractivité considérable, peut-être encore plus aujourd’hui, notamment avec le développement des moyens de communications. Puis les monarchies développeront encore les vignobles considérés comme cultures traditionnelles et symboles de richesses. 36Dans la mythologie égyptienne, c’est Ré, le dieu solaire, qui a introduit le vin et l’ivresse sur terre. Symbole de Dieu, la vigne est aussi la personnification du Messie (Jean 15,1) ».
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Il peut être produit par raffinage issue de l’industrie du pétrole ou issu des éruptions volcaniques. Néanmoins, il resterait sans conséquences sur la santé, hormis donner un bon mal à la tête après avoir bu un vin avec beaucoup de sulfites ajoutés. Son rôle ? Stopper le développement des bactéries et des levures, protéger le vin de l’oxydation, aseptiser et conserver le vin. La loi européenne impose aux vignerons depuis 2005 d’ajouter la mention « contient des sulfites » sur tous les vins contenant plus de 10 mg/l de dioxyde de soufre. Il peut être utilisé à la vendange, au pressurage, à la fin de la fermentation, à la mise en bouteille et pendant le stockage. Pour résumer, une célèbre infographie réalisée par Cédric Mendoza – Association des vins S.A.I.N.S montre bien la différence du nombre d’intrants autorisés entre les différents vins selon les normes de chacun. Saviez vous que le vin bio n’existait « officiellement » que depuis le 1er août 2012 ?
- Je déguste et je savoure mes vins
- La concentration partielle à froid,
- L’agriculture conventionnelle
- La lutte biologique
- Le mouillage : ajout de l’eau au vin,
- Les Moûts Concentrés et les Moûts concentrés rectifiés (MCR)…
- Les vins issus de la viticulture raisonnée
- La qualité de la vinification et le talent du vigneron ne sont pas concernés pat le label AB
D’ailleurs l’aspect « respectueux de l’environnement » est le principal atout perçu du vin bio par rapport à un vin « non bio » : 63% des personnes interrogées considèrent que le vin bio est en effet plus respectueux de l’environnement (et même 69% en France). C’est sur le goût que le vin bio peine le plus à faire la différence : 20% considèrent qu’il a meilleur goût, 16% moins et 62% ni plus ni moins. C’est le seul atout cité par une majorité de répondants. Les autres « plus » cités sont : son caractère plus respectueux du producteur, en termes notamment de revenus ou de santé (47% contre 12% qui pensent qu’il l’est moins que le vin « non bio » et 39% « ni plus ni moins ») ; son aspect « bon pour la santé » (34% pensent qu’il l’est plus, 11% moins et 53% ni plus ni moins), authentique (30% plus, 15% moins et 53% ni plus ni moins), ses qualités nutritionnelles (26% plus, 12% moins et 60% ni plus ni moins).